mercredi, novembre 21, 2007

Devoir de vérité...


Voilà une contre vérité qui se répand depuis maintenant un mois environ, le salaire du Président aurait augmenté de 140%...
Information fausse reprise à tord et à travers dans tous les médias et utilisée à des fins politiciennes dans les manifestions ces derniers jours.
Or on doit la vérité aux français, dorénavant le salaire du Président de la République est fixé par la Loi et non pas par lui-même comme auparavant.
Première exigence : Donner au Parlement le pouvoir de fixer la rémunération du Président de la République
La rémunération du Président de la République n’était prévue par aucun texte. C’est le Président lui-même qui la fixait. Cette situation n’était pas saine. Comme pour les membres du gouvernement et à l’instar de la situation qui prévaut dans toutes les démocraties européennes et aux Etats-Unis, il fallait donner au législateur le soin de fixer la rémunération du Président.

Deuxième exigence :Transparente: La rémunération du Président doit être connue de tous et exclusive de tout autre traitement, pension, prime, indemnité.
Contrairement à ce qu’affirment certains, la rémunération de l’actuel Président n’augmentera pas par rapport au précédent. Elle baissera même légèrement. En revanche, elle devient transparente. Le prédécesseur de Nicolas Sarkozy gagnait 20 144 € nets par mois : 7 084 € versés par la Présidence, auxquels s’ajoutaient 13 060 € de pensions de retraite (mairie de Paris ; Assemblée nationale…). En alignant la rémunération du Président actuel sur celle du Premier ministre, celui-ci gagnera 19 331 € nets par mois. La loi précisera que cette rémunération est exclusive de tout autre traitement, pension, prime ou indemnité.

Ainsi ces avancées répondent pleinement aux attentes du député René Dosière (apparenté PS), qui demande depuis des années que la loi fixe la rémunération du Président, et qui propose exactement ce montant de rémunération pour le Président.
On voit donc bien à quelle point toutes les critiques qui visent à ce sujet le Président Sarkozy ne sont fondées sur aucune honnêteté intellectuelle.

mardi, novembre 20, 2007

Les vérités de Valérie...

Face aux critiques et aux comportements sectaires de groupuscules d'extrême gauche, les étudiants ont droit à la vérité sur la loi LRU votée cet été en négociations avec les syndicats et signé par Bruno Julliard...
On ne peut tolérer plus longtemps le comportement de minorités radicalisées et ultra-politisées qui tiennent en otage une majorité d'étudiants. La liberté d'étudier est un droit qui ne saurait être remis en cause par ces groupes qui se refusent à accepter l'organisation de votes à bulletins secrets dans nos Facs.
Contre ce corporatisme révolutionnaire d'un autre temps et ces jeunes qui imposent un totalitarisme que ne renierait pas Staline, nous devons réformer l'Université et refuser le statut quo devant l'exigence d'un monde qui continue de changer sans nous.

mardi, novembre 06, 2007

L'extrême gauche se rebiffe dans nos Facs !

Non content d'avoir échoué lamentablement dans les urnes au printemps dernier lorsque la démocratie s'est exprimée, l'extrême gauche a décidé d'outrepasser tout principe démocratique en amorçant un mouvement minoritaire et sectaire dans plusieurs de nos universités.
Conformément à leurs traditions les syndicats non représentatifs, l'UNEF, SUD étudiant ou CNT, ont décidé sans délibération démocratique d'engager l'épreuve de force en bloquant l'accès aux facs.
A ce jour, une petite dizaines d'universités semblent toucher par ce phénomène de révolte non justifié. En effet, sous l'impulsion d'une minorité d'extrémistes de gauche et d'anarchistes extérieurs aux établissements, un blocage inacceptable a été instauré sans tenir compte de l'avis de tous.
Sans même tenir compte sur le fond de la loi Pécresse, contre laquelle il proteste et dont il demande l'abrogation, il est absolument intolérable et scandaleux de priver l'accès aux salles de cours à ceux qui souhaitent étudier. De plus cette loi sur l'autonomie des universités fait consensus au sein même de la classe politique et des autres syndicats étudiants plus modérés comme la Confédération étudiante et la Fage.
Il en va de la cohésion de notre société et du bon fonctionnement de notre appareil universitaire, en cela j'appelle le président de la République a réagir urgemment face à ce phénomène émergent et faire respecter la loi dans les Facs et la liberté d'étudier pour tous.
Etudier dans notre pays est un droit fondamental qui ne saurait être remis cause par une minorité d'étudiants radicalisés.